Philippe Ep 35 : Le Retour De Juliette
PHILIPPE
EP 35 : LE RETOUR DE JULIETTE
( ET JE NE VOUS DIS PAS MAIS LE RETOUR DE
TERMINATOR A CÔTÉ
C'EST RIEN ! ENFIN ÇA M'A
FAIT MOINS PEUR )
Elle tentait un nouveau baiser, je le lui accordais sans faire de manière et le suivant c'est moi qui le lui volais. Pour son plaisir !
Vous ne pouvez pas imaginer le boulot que c'est que de faire croire à tout le monde qu'on est pas gay quand on n'est pas hétéro. Bein oui il faut bien se dire que je n'ai pas de copines moi ! Enfin si quelques unes mais, c'est que des mecs.
Bon il va falloir y remédier. Je terminais la matinée avec des jeunes de mon âge, il y avait beaucoup de fille et au début je me demandais comment j'allais gérer cette affaire. Le problème s'est vite réglé tout seul, Juliette toujours incroyablement attentionnée s'en occupait. C'est simple elle m'accaparait et aucune autre fille ne pouvait plus m'approcher !
Elle a de bons côtés la petite Juliette, je me disais que si c'était un mec ce serait la fille idéale
( J'ai pas dit une connerie là au moins ? )
On discutait, on jouait au billard
Et elle me regardait droit dans les yeux en disant ...
Juliette : Ce qui est bien avec le billard, c'est que c'est un jeux qui se joue avec une queue !
Tout le monde éclatait de rire, moi je gloussais en avalant ma salive
Je ne paniquais pas plus que depuis ces dernières semaines et donc sur ce commentaire je décidais de l'inviter à dîner. Elle appréciait et pour me remercier elle me donnait un baiser très tendre tout en m'écrasant ses mamelles contre mon torse.
Ses copines ne parvenaient pas à dissimuler leur fou rire. Je les voyais comploter entre elles. J'avais oublié de prévenir que j'avais une invité mais chez mes tontons c'est pas bien grave. Ils étaient simplement un peu surpris que ce soit une fille, et en plus c'était Juliette.
Là c'est elle qui paniquait un peu, vous imaginez être reçue dans une telle maison.
L'après midi jemmenais ma nouvelle conquête faire un grand tour en voiture.
Juliette : Elle est vraiment superbe ta voiture.
Moi : Et on peut même retirer le toit.
Juliette : Retirer
?
Moi : Ouai ! On appuis sur le petit bouton là et le toit se replie dans le coffre mais là il fait encore un peu froid.
C'était un toit rigide évidemment, mon père ne va pas acheter de la camelote c'est pas son genre, il faut respecter un certain standing. En fait je ne savais pas quoi dire, j'étais seul avec une fille et déjà ça c'était insolite. Mais je ne savais pas quoi faire, pas quoi dire, j'étais gauche
Ah si seulement c'était un mec ce serait bien plus simple. Enfin là je n'étais plus en train de dire n'importe quoi, je me contentais de le penser, c'était déjà bien !
Juliette : Il y a des roues aussi !
Moi : Euh oui il y a aussi des roues
Juliette : Quatre ?
Moi : Cinq même avec la roue de secours
Vous voyez là l'étendue du désastre. J'avais réussi un premier contact mais on fait quoi après ?
Ça s'intéresse à quoi une fille ? Je ne sais déjà même pas comment c'est fait, je ne peux pas non plus savoir comment ça marche.
Au moment ou je passais une vitesse une main se posait sur la mienne. Je me raidissais par réflexe mais je parvenais à ne pas retirer ma main et à ne pas crier comme une folle. Elle avait ressenti ma gêne mais mettait ça sur le compte de mon éducation, ma famille.
Juliette : Ne t'inquiète pas tout va bien se passer !
Bon ça, c'était une menace ou j'y connais rien ! '' Mais qu'est-ce que je suis venu faire dans cette galère moi ? Ah si ! Je me souviens c'est pour faire croire à mon papa que je ne suis pas hétéro
Euh ! Non, c'est pas ça ! C'est pour faire croire à mon papa que je suis hétéro !''
Voilà !
Même moi je n'arrivais plus à me suivre !
Juliette me caressait le bras, je laissais faire
Juliette : Tu sais j'ai beaucoup aimé ce tour en aéroglisseur que tu m'avais fait faire l'an dernier.
Là j'avais une idée, je faisais demi tour et revenais à la maison. Arrivé devant la maison j'y fonçais comme un fou, j'en ressortais peu après de la même manière. Juliette ne comprenait plus rien, et on repartait vers les hangars
Je m'arrêtais juste à côté d'un avion bimoteur à hélices
Moi : Tu es déjà monté dans ce genre d'avion ?
Juliette : Tu sais conduire ça ?
Moi : On dit piloter pas conduire. Il faut avoir seize ans. ( là je gonflais le torse )
Juliette : Et pour la voiture c'est dix huit ?
Moi : Bein oui je sais ! ( là mon torse se dégonflait tout seul )
Alors là les filles je ne vous dis pas
( pardon je voulais dire les mecs )
Mais pour emballer une fille, un tour en avion c'est radical. Après ça elle était encore plus folle de moi. En plus on peut prétexter qu'on doit rester concentré sur le pilotage, ce qui fait qu'on évite de trop parler et comme je ne savais pas quoi dire
Ça m'arrangeait un peu tout de même !
Le soir je l'invitais à souper à la maison. Après le repas on flirtait dans le jardin, je voyais les rideaux des fenêtre s'ouvrir et j'apercevais par moment le visage d'un de mes oncles. Je sais d'habitude ils ne se posent pas de questions mais je pense qu'à ce moment précis ils devaient s'en poser plein !
Un peu plus tard dans la soirée je ramenais Juliette chez elle.
Juliette : Tu as déjà dormi avec une fille ?
Moi : Euh ! Une seule à la fois ? Jamais ! ( en rigolant )
Juliette : Tu n'es pas sérieux ! Réponds moi
Moi : Jamais, non jamais je te jure !
Juliette : Avec une famille comme la tienne ça ne doit pas être facile !
Moi : Bein non, à la maison si j'essaye d'emmener une fille ça ferait tout un drame, je te garantis que mon père serait averti dans la seconde !
Juliette : Et ici ?
Moi : Mes deux oncles sont plus cool eux !
Juliette : Tu crois qu'on pourrait dormir ensemble un jour ?
Moi : Tu dirais quoi à tes parents pour t'absenter ?
Juliette : Que je vais dormir chez une copine !
Moi : Tu crois que tu pourrais dire à tes parents que tu vas dormir chez une copine ce soir ?
Bon vous voyez le plan se dessiner là ? On était dans les bras l'un de l'autre et finalement je dois reconnaître que ça embrasse bien, enfin celle là, elle embrassait bien. Ah il ne faut pas dire
'' ÇA embrasse '' quand on parle des filles
Désolé ça m'a échappé !
Elle sortait alors son téléphone, je laissais faire. Elle appelait d'abord sa copine puis ses parents. Le problème était réglé. Elle avait jusqu'à dix heures le lendemain matin. J'étais piégé, je m'étais piégé tout seul. Là j'ai paniqué encore un peu plus. '' Mais comment ça va se terminer cette affaire ? ''. Mais bon je n'avais plus le choix, il fallait aller jusqu'au bout !
Je la ramenais à la maison. J'arrivais sans difficulté à la faire rentrer, c'est vrai que parmi les employés personne ne faisait plus attention à mes excentricités et Alex choisissait de ne rien voir et se détournait à notre passage ... Il soupirait fort à ce moment mais il se détournait.
À peine la porte de ma chambre refermée Juliette me sautait dessus.
Mais franchement ils font comment les autres mecs avec ces airbags, nous ( les mecs ) on a de jolis muscles, décorés de jolis tétons. Elles, les filles elles ont bien deux téton ( moins élégants ) collé sur deux masses gélatineuses qui font blg, blg, blg quand on veut y toucher.
Je veux pas me plaindre mais je vous jure, c'est pas facile tous les jours !
Je passais mes mains un peu partout, même là ou le contact était douteux, en commençant par les hanches ( là ça va ) je remontais ensuite mes caresses vers le haut de son dos ( là ça va encore ) puis ment, y avait pas l'choix, une main passait sur sa poitrine ( là ça va moins bien , tout de suite ). Heureusement que j'avais juste dix huit ans et qu'à dix huit ans on bande facilement sinon ça n'aurait pas marché mon truc.
J'essayais de penser à autre chose, je l'embrassais dans le cou. Sous l'oreille, je revenais à ses lèvres, je l'entendais gémir doucement. Elle me semblait plus lourde d'un coup. C'est vrai que quand je la lâchait sur le lit elle se laissait tomber.
Je restais un petit moment sans bouger pour reprendre mes esprit, c'était pas le moment de mollir. Je bandais ferme. D'une main je lui caressais le visage, avec douceur. Ma main descendait le long de son cou, puis suivait la courbe des épaules. Je faisais une pause pour me rappeler le mode d'emploi que j'avais lu la veille
Ah oui maintenant c'est la poitrine
Blg, blg, blg
Pardon je ne le referai plus !
Donc
Les mamelles
Doucement je tentais d'ouvrir son corsage, je cherchais les boutons, la fermeture à glissière ou je sais pas quoi moi
Mais comment ça s'ouvre ce genre de truc ?
Elle rigolait, je ne savais plus quoi faire
Elle me tirait vers elle, je perdais l'équilibre et la catastrophe arrivait, je lui tombait dessus, juste sur les airbags...
Peuhhh , bon de toute façons il faudra y passer alors
Juliette : Ça s'ouvre dans le dos !
Mais c'est que c'est futé ce truc, il y avait des petit crochets. Doucement je les ouvrais, c'était vraiment pas le peine de s'énerver finalement ... Son corsage s'ouvrait devant mes yeux effrayés. Il y avait encore le truc là juste en dessous. Vous savez le
soutien-gorge, moi ce genre de truc j'en porte pas ! Le vêtement en lui même n'est pas vraiment moche, non, mais c'est ce qu'on y met dedans
J'étais en sueur !
Juliette semblait amusée par mes maladresses. Bon ça en fait au moins un des deux qui s'amuse ! Parce que moi je vous jure je ne m'amusais pas !
Juliette décidait finalement de prendre les affaire en main. Elle me repoussait sur le côté, je préférais laisser tomber, pardon je voulais dire
Je préférais me laisser tomber, résister était au dessus de mes forces. Je me retrouvais allongé sur le dos, elle me chevauchait. Je transpirait de plus en plus, je ne sentais même plus mes jambes. Elle retirait son soutien-gorge. Tient ce truc ça s'ouvre par devant ? C'est pas logique une fille !
Elle était torse nue, au dessus de moi. Je me sentais piégé.
Elle se penchait sur moi et déposais sur mes lèvre un baiser puis encore un autre puis encore un puis
Pfff
Je me disais qu'elle finirait bien par se calmer ! Avec des doigts aussi rapides qu'agiles elle ouvrait ma chemise sur toute sa hauteur depuis le cou jusqu'à ma ceinture. Je couinais quand elle arrivait à la ceinture.
Suivait un autre baiser passionné sur mon ventre.
Juliette : Reste calme, ne bouge pas, laisse toi faire, ça va très bien se passer.
Là je gloussais en avalant ma salive, mais je la laissais faire. Maintenant je ne sentais plus mes bras
Elle me couvrait alors la poitrine de baiser, ça c'était cool, puis me chatouillait avec le bout de ses tétons. Hiiiii ! Ça chatouille ça je ne m'y attendais pas. J'ai commencé à gémir et à trembler pour me dégager, elle a pris ça pour un encouragement et a ouvert ma ceinture, mon pantalon et ma braguette. J'étais pétrifié, incapable de bouger, je ne sentais même plus ma queue. Je ne savais même plus si je bandais ou pas ! C'est tout dire !
Mais la nature est bien faite car si ma cervelle ne savait plus quoi faire ma queue elle bandait, de ce côté tout allait bien. Juliette à regardé pendant quelques instant ma bite puis a relevé la tête. Elle me regardait avec un regard à faire peur. J'avais la trouille mais comme je ne pouvais plus bouger
Elle penchait de nouveau la tête et me prenait la queue dans sa bouche. J'avais envie de me faufiler, de me sauver en hurlant comme une fille mais je me contrôlais.
Finalement elle ne fait pas ça trop mal, il faudra que je lui montre un de ces jours. Un plan à trois avec un mec, comme ça je pourrais m'occuper et lui montrer comment il faut faire
Mais qu'est ce que je raconte moi ? Je vais pas bien !
Non, sérieusement elle fait ça très bien même. Rapidement ma queue rentrait dans sa bouche sur toute la longueur. Elle profitait que je soulève mon bassin pour me retirer totalement mon pantalon. J'étais dans une position peu enviable là. Nu entre les bras d'une fille torse nue
Wouah !
J'avais les bras en croix, un sourire probablement idiot sur le visage, je la regardais. Elle se relevait et avec la lenteur et la langueur d'une strip-teaseuse amateur retirait tout ce qui lui restait sur elle. J'ouvrais grand les yeux, c'était probablement la seule fois de ma vie ou j'aurais l'opportunité de voir comment c'était foutu une fille. Elle me tombait dessus. J'avais pas eu le temps de voir moi !
Bon il était temps que je me ressaisisse. Je la prenais dans mes bras. Je la serrais fort, ça fait bizarre au début, ensuite je faisais comme avec un mec. Je caressais toute la peau qui se présentait, j'embrassais toute la peau que je pouvais atteindre surtout sans oublier les masses gélatineuses sur le haut du corps. J'avais retrouvé l'usage de mes bras et de mes jambes.
On roulait l'un sur l'autre, finalement quand je me retrouvais dessus il fallait bien reconnaître que c'était confortable les deux trucs gonflés, on a pas l'impression de faire du camping ! Et quand c'est elle qui se retrouvait sur moi ça chatouillait, et puis c'est pas lourd une fille, elle avait l'air volumineuse comme ça à voir mais toute nue elle était plutôt menue.
Je la couvrais de baisers sur le ventre mais quand j'arrivais à son nombril j'étais alors pris d'un doute
Oui mais ça se passe comment plus bas ?
Il n'y a rien à sucer là ?
Elle devait deviner mon léger désarrois, me tirait vers elle, nos deux visages se retrouvaient face à face. Avec une main elle me guidait, elle guidait ma queue bien en place. D'habitude moi je passe par l'autre côté, dans ce sens je ne sais pas comment ça marche moi !
Juliette : Vas y ! Pénètre moi !
Je retenais mon romantisme habituel et j'y allais tout doucement. Au départ ça surprend, il y a moins de résistance qu'avec un mec, ça rentre tout seul, je m'enfonçais avec méfiance, bein c'est que je ne savais pas ou j'allais là ! Elle m'embrassait pour m'encourager, j'avais un sourcil relevé d'un air interrogateur, ça la faisait rire. Elle me donnait des baisers plus chauds, plus sensuel. Je retrouvais le sourire et m'enfonçais totalement, doucement mais bien à fond. J'appuyais alors mon ventre contre le siens.
Ouééééé ! J'avais réussi ! C'était pas gagné cette affaire au départ mais
C'est vrai qu'elle m'a un peu aidé ! Pour la suite je faisais comme d'habitude, je commençais des mouvements de va et vient, doucement puis plus rapidement. Je changeais de rythme, je la couvrais de caresses et de baisers.
Et je me disais que c'était à ce moment que j'aurais voulu que mon père entre dans la chambre. Éh, après ça il me foutrait la paix, ça devrait calmer ses soupçons ça ! Je me lâchais, elle avait refermé ses jambes derrière mes fesses et m'encourageait et me guidait avec les mouvements de tout son corps. Finalement j'étais content de moi.
Je ne voulais pas jouir tout de suite, je prenais mon temps. Au bout d'un long moment je faisais une pause.
Moi : On inverse la position ?
Là je me sentais devenir tout pâle, j'avais dit une connerie !
Juliette : Ça marche !
Un instant de panique dans ma tête, à nouveau je perdais l'usage de mes bras et de mes jambes. Elle me retournais sur le dos, je me laissais faire, puis elle me chevauchait. Elle sempalait sur moi. Je me sentais rassuré, c'est pas à cette position que je pensais mais ça ferait très bien l'affaire. Elle se penchait sur moi, ses cheveux me chatouillaient, ses seins aussi ( vous avez vu je suis en progrès!) et ses mains qui me caressaient tout le corps. Je lui rendais chacune de ses caresses.
C'est elle qui imprimait le mouvement, je la suivait en relevant le bassin au même rythme. Elle gémissait, puis ses gémissements se transformaient en cris puis ses cris en hurlement de plaisir. Elle faisait des grimaces. Je sentais des contractions au niveau de ma queue et c'est finalement au moment ou elle poussait des cris que je jouissais et jutais en elle
J'ai pas tout compris mais je m'attendais à pire. Un peu plus tard chacun s'endormait dans les bras de l'autre. J'ai finalement bien dormi mais le réveil devait être violent !
La porte de ma chambre s'ouvrait avec violence et j'entendais les hurlements de mon père.
Mon père : Alors là tu ne vas pas t'en sortir aussi facilement toi. Tu vas voir je vais faire de toi un homme que tu sois d'accord ou pas. Alors c'est qui, comment s'appelle-t-il.
Je relevais le torse et regardait mon père, j'étais pétrifié.
Mon père : Alors il va me montrer son visage cette espèce de connard, de grosse tafiole !
Juliette totalement terrifiée, se relevait alors et cachant ses seins montrait son visage. Mon père devenait tout blanc !
Mon père : Heu ! Mademoiselle ! Je
terriblement désolé mademoiselle ! Je vous présente toutes mes excuses ! Il y a là une terrible méprise !
Il ressortait alors de la chambre comme un automate.
Je vous l'avais bien dit, c'est pas croyable tout le travail qu'il faut pas faire pour pas faire croire à son papa qu'on pas hétéro quand on est pas gay.
Bon c'est pas ça, c'est pas ce que je voulais dire mais vous avez traduit !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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